Leur deuxième album est quelque peu décevant en termes de hits potentiels. Un seul single (Sound Of Love) et....c'est tout.
Le changement de guitariste y est peut-être pour quelque chose ?!
Le groupe se séparera un peu après.
La face B de "Sound Of Love", le quasi instrumental "Acuba", aurait presque fait une bonne Face A, du coup, car plus spontané.
La reprise du "Sympathy For The Devil" des Stones laisse quelque peu sur sa fin.
Au final, un second album mieux produit et plus lèché, certes, mais aussi plus impersonnel et passe-partout.
Voici cet album agrémenté de la face B "Acuba" inédite.
(33t) Backdoor Records 1982 Mp3/320
Klang - A2 - Rhythm 1982
Klang - A3 - Baby's Gone 1982
Klang - A4 - Driving Me Wild 1982
Klang - A5 - Runner 1982
Klang - A6 - Estrangero 1982
Klang - B1 - On The Radio 1982
Klang - B2 - Sword Of Justice 1982
Klang - B3 - Sympathy For The Devil 1982
Klang - B4 - Diamond 1982
Klang - B5 - Dots And Dashes 1982
Klang - Acuba (Bonus) 1982
J'aime bien le 1er extrait (Même si cela ne se démarquait pas de la production de l'époque)...
RépondreSupprimerLa reprise de Stones est un peu bancale à mon goût.
Quant à Acuba... Matata ;-D
Et on va découvrir le reste...
J'aime bien cette reprise du titre des Stones. Musicalement c'est très efficace !
RépondreSupprimerA l'écoute des deux premiers extraits j'accroche plus qu'aux extraits précédents. Même si vocalement, c'est toujours le point faible du groupe.
Rien que pour "Sympathy For The Devil", je vais tester le disque ! Ce qui me convaincra peut-être de choper le premier ;)
C'est vrai la reprise des Stones me fait un peu râler, étant un fan des premières heures des gaillards. J'avais accepté la reprise dans les années 60 de Paint it back par ma chanteuse préférée quand j'étais gamin, Caterina Caselli Tutto nero.(d'ailleurs c'était sa marque...que des reprises)
RépondreSupprimerHello, merci pour ces digitalisations de qualité. Pour Sympathy for the Devil, j'admets que c'était une mauvaise idée, mal exécutée. Je pense qu'on ne l'a même jamais jouée live. On était jeunes.. Klaus Klang.
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